“The Missing Picture”
“The Missing Picture” – un film cambodgien – plein d’espoir à gagner le Meilleur film étranger au concours cinéma le plus réputé du monde Oscar.
Son directeur Rithy Panh a dit : « quand vous pouvez faire les citoyans de votre pays fiers de leur culture, c’est extraordinaire » . Pour la première fois dans l’histoire de cinéma cambodgien, un film était proposé à l’Oscar.
Avant d’arriver à ce concours honoré , il a gagné le prix Un Certain Regard , ce qui se veut la mise en perspective d’un cinéma plus « atypique » que dans le volet principal et récompense des cinéastes encore peu connus à Cannes 2013. Même le directeur a gagné le prix à Busan, en Corée du Sud.
“The Missing Picture” est la combinaison entre les vrais métrages au temps Pol Pot et les images d’une vie pauvre avant faites par les statues de terres cuites qui rétablissent d’une période horrible de Panh et autres membres dans la famille dans années 70 au régime de la génocide de Pol Pot Rouge.
C’est dans ce temps, ses membres familliales ont été tués, seul lui qui avait la chance de fuir au Thailand et après arriver en France . En France, il a commencé à se habituer à l’art cinégraphe et avait la passion de réaliser un film parlé d’une part de l’histoire terrible au Cambodge.
Le film documentaire “The Missing Picture” suit la raconte du directeur, combine des histoires populaires et de la vie personnelle. Les paroles du directeur et la voix du mathématicien francais Randal Douc.
Un des buts les plus importants quand le directeur fait ce film, c’est d’attirer l’attention des jeunes cambodgiens par rapport aux histoires, réveiller leur fierté. C’est un problème grave dans le système éducatif.
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Les informations de “The Missing Picture” à l’Oscar a fait le nom de son créateur apparaitre dans les couvertures des journaux, magazines cambodgiens.
Envers de lui, les premières succès arrivaient après une longue période difficile d’enfant, obsédé par les grandes pertes . il devait faire beaucoup d’efforts quand il était en France.
Il y a deux ans, il a fait le projet de réalisation, il a rencontré un photographer âgé au Cambodge, il a dit qu’il avait fait beaucoup de photos durant la génocide, mais elles sont perdues. Panh a essayé de les chercher mais insuccès. Ci-dessous est “La Photo perdue » qui a contribué à établir le titre.
Panh est retourné à chez lui où il a habité jusqu’à 1975, tout était différent, c’était « la deuxième photo perdue » dans l’esprit qui veut chercher le passé. Il a commandé de faire une maison en terre cuite. Après avoir vu cet objet, il a inventé de réaliser un film en terre cuite.
Le cinéma cambodgien a bien fait des progrès non seulement dans l’Indochine mais encore en Asie.
Par rapport au Vietnam, le cinéma est encore petit, le rêve d’Oscar est encore très loin !
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Rédigé par NGUYEN Hanh
